Transformation et extension
Maison unifamiliale
Woluwé Saint-Lambert
430 m²
2019-2023
Construit
Maison unifamiliale
Woluwé Saint-Lambert
430 m²
2019-2023
Construit
Œuvre de l'architecte Lambin, cette habitation bruxelloise de 1933 se démarque par la composition géométrique de sa façade en briques et céramique. Sa toiture plate offre des pièces dégagées avec de belles hauteurs sous plafond.
Le souhait du client était de créer une maison unifamiliale à quatre chambres avec un escalier singulier et structurant.
La structure portante principale et l’implantation des espaces servis et servants sont préservées et renforcées.
La cuisine côté rue, ouverte sur le porche et le vestiaire, témoigne de l’esprit de modernité de Lambin pour l’époque. Cette audace est appuyée par une plus grande ouverture du vestiaire vers la cuisine, invitant à la traverser. Le séjour d’origine en Z devient un grand rectangle baigné de lumière naturelle grâce à la suppression de la toiture de la terrasse.
L’adaptation des usages et la création de l’ouverture d’un puits de lumière continu du toit à la cave, enroulé d’un escalier balancé en appuis sur les murs existants apportent de la luminosité au cœur du bâtiment.
Les dessins des archives de la ville ont servi de référence pour préserver autant que possible la façade à rue originale. La seule modification apportée se situe au niveau de la loggia de l’étage qui est intégrée à l’espace de travail. La rénovation a scrupuleusement respecté la matérialité existante. Les fenêtres retrouvent les divisions de menuiserie d’époque.
Pour minimiser la perception de l’agrandissement, la rehausse est construite en recul de l’alignement.
Les sols et la façade d’origine côté rue sont à dominante minérale et imperméable. Côté jardin, une nouvelle façade poreuse, complétée de nichoirs intégrés, accueille insectes et oiseaux. Un aménagement de sol perméable laisse l’eau s’infiltrer.
Le souhait du client était de créer une maison unifamiliale à quatre chambres avec un escalier singulier et structurant.
La structure portante principale et l’implantation des espaces servis et servants sont préservées et renforcées.
La cuisine côté rue, ouverte sur le porche et le vestiaire, témoigne de l’esprit de modernité de Lambin pour l’époque. Cette audace est appuyée par une plus grande ouverture du vestiaire vers la cuisine, invitant à la traverser. Le séjour d’origine en Z devient un grand rectangle baigné de lumière naturelle grâce à la suppression de la toiture de la terrasse.
L’adaptation des usages et la création de l’ouverture d’un puits de lumière continu du toit à la cave, enroulé d’un escalier balancé en appuis sur les murs existants apportent de la luminosité au cœur du bâtiment.
Les dessins des archives de la ville ont servi de référence pour préserver autant que possible la façade à rue originale. La seule modification apportée se situe au niveau de la loggia de l’étage qui est intégrée à l’espace de travail. La rénovation a scrupuleusement respecté la matérialité existante. Les fenêtres retrouvent les divisions de menuiserie d’époque.
Pour minimiser la perception de l’agrandissement, la rehausse est construite en recul de l’alignement.
Les sols et la façade d’origine côté rue sont à dominante minérale et imperméable. Côté jardin, une nouvelle façade poreuse, complétée de nichoirs intégrés, accueille insectes et oiseaux. Un aménagement de sol perméable laisse l’eau s’infiltrer.